LeCollectif 44 de l'Ă©thique sur l'Ă©tiquette sensibilise les consommateurs aux conditions de travail imposĂ©es aux fournisseurs et sous-traitants des marques de vĂȘtements vendus en Europe. Il

Son but est, comme le Collectif national dont il dĂ©pend, de dĂ©fendre les droits des travailleurs. En effet, ces derniers sont trop souvent exploitĂ©s par les multinationales qui ne respectent pas le droit international du travail. Celui-ci est fondĂ© sur les principes de la DĂ©claration Universelle des droits de l’Homme et plus prĂ©cisĂ©ment sur les 8 conventions essentielles de l’OIT. En CorrĂšze, le collectif a Ă©tĂ© créé en 2001, annĂ©e d’élections municipales, lors de la campagne Achats publics, achats Ă©thiques ».Nos tĂąches principales sont d’informer par divers moyens et de faire signer des pĂ©titions qui appuient des luttes mondiales, non violentes, de travailleurs. Par exemple les luttes pour un salaire vital en Asie, pour soutenir les ouvriers du Bangladesh et leurs familles aprĂšs la catastrophe du Rana Plaza, pour la loi sur le devoir de vigilance en France. Nous faisons connaĂźtre les campagnes en cours par internet mais aussi en faisant de la sensibilisation citoyenne sur le terrain et en Ă©tant relayĂ©s par la presse locale, en participant Ă  des Ă©vĂ©nements publics comme le Forum des associations, la Semaine de la solidaritĂ© internationale, et Ă  des journĂ©es festives, en organisant des soirĂ©es projection et dĂ©bats etc. Actuellement notre collectif comprend le CCFD Terre-Solidaire, CorrĂšze-Environnement, l’UFOLEP, l’Union dĂ©partementale des retraitĂ©s CFDT. D’autres associations nous soutiennent. Nous avons besoin de plus de forces. Rejoignez-nous ! Contact Gilberte Catalifaud mail

REPLAY- Nayla Ajaltouni, porte-parole du collectif Éthique sur l'Ă©tiquette, est revenue sur l'adoption d'une proposition de loi sur le devoir de vigilance des multinationales.
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\n \n\n \ncollectif de l éthique sur l étiquette
Surle moyen du pourvoi n° G 21-11.959, pris en sa seconde branche EnoncĂ© du moyen 5. Les associations Survie, CRED et NAVODA, CCFD - Terre solidaire, ActionAid France et le Collectif Ă©thique sur l'Ă©tiquette font grief Ă  l'arrĂȘt de renvoyer l'affaire devant le tribunal de commerce de Nanterre, alors « que, sauf Ă  Pour privilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale, un collectif s’est créé en se fixant un certain nombre d’objectifs qui recoupent des questions d’éducation. Une campagne nationale d’action a Ă©tĂ© mise en place..Depuis plusieurs annĂ©es des campagnes nationales telles LibĂšre tes fringues, Soyez sport, et Commerce Ă©quitable ont Ă©tĂ© lancĂ©es Ă  l’initiative d’Artisans du monde et d’Agir ici. Elles ont pour objectif de sensibiliser les consommateurs sur la question de la qualitĂ© sociale » des produits qu’ils achĂštent. Un collectif s’est créé*. Les CemĂ©a ont dĂ©cidĂ© d’en faire partie parce qu’en tant que mouvement d’éducation cet enjeu de sociĂ©tĂ© traverse leur champ de pratiques et d’actions. Éducation contre le racisme, droits des enfants, Ă©thique sur l’étiquette autant de questions de sociĂ©tĂ© qui ouvrent au regard du projet des CemĂ©a, d’éducation populaire et de formation d’acteurs bĂ©nĂ©voles volontaires ou professionnels, un vaste chantier pĂ©dagogique et citoyen. Exploitation d’enfants, salaires dĂ©risoires, heures supplĂ©mentaires obligatoires et non rĂ©munĂ©rĂ©es, rĂ©pression antisyndicale Ă  l’encontre d’ouvriers dont le seul tort est de demander des conditions de travail dĂ©centes... Dans le monde entier, les centaines de milliers de personnes qui produisent les vĂȘtements, les chaussures de sport ou les ballons de football que nous achetons, travaillent trop souvent dans des conditions inacceptables. Des conditions de production inacceptables Pourtant, il existe des rĂšgles dĂ©finies par l’Organisation internationale du travail OIT, interdisant le travail forcĂ©, l’exploitation des enfants, le non respect de la libertĂ© syndicale, la discrimination entre individus d’origine, de religion ou de sexe diffĂ©rents... Dans le monde, de nombreux pays se sont engagĂ©s Ă  respecter ces principes fondamentaux, mais l’écart entre les dĂ©clarations et la rĂ©alitĂ© reste Ă©norme. C’est pourquoi, nous pouvons ĂȘtre amenĂ©s Ă  acheter des vĂȘtements et des chaussures de sport fabriquĂ©s dans des conditions inadmissibles. En effet, actuellement les consommateurs ne disposent d’aucune garantie leur permettant de privilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale ». Un objectif la crĂ©ation d’un label social... Face Ă  cette situation, le collectif De l’éthique sur l’étiquette » s’est fixĂ© les objectifs suivants Faire adopter, par plusieurs chaĂźnes de distribution et fabricants, le code de conduite Ă©laborĂ© par le collectif. En adoptant ce code de conduite, les entreprises doivent s’engager, auprĂšs de leurs clients, Ă  respecter et promouvoir les droits de l’homme au travail absence d’exploitation d’enfants, interdiction de l’esclavage, respect de la libertĂ© syndicale, salaires dĂ©cents.... Ces entreprises doivent Ă©galement accepter qu’un organisme indĂ©pendant et transparent contrĂŽle le respect du code de conduite. Lorsque les violations sont constatĂ©es chez un fournisseur, celles-ci devront cesser dans un dĂ©lai prĂ©cis. Si elles persistent une fois passĂ© ce dĂ©lai, le distributeur devra arrĂȘter toute relation commerciale avec ce fournisseur. Ceci constitue un premier pas vers la crĂ©ation d’un label social qui permettra aux distributeurs de mettre de l’éthique sur l’étiquette. Avec ce label, les consommateurs disposeront d’une garantie de bonne qualitĂ© sociale ». DĂ©but 1997, le VIIIe baromĂštre de la solidaritĂ© du CCFD indiquait que 72 % des Français accepteraient d’acheter un peu plus cher des marchandises d’importation produites dans des conditions sociales satisfaisantes. Des rĂ©sultats encourageants Depuis deux ans, la participation croissante aux campagnes LibĂšre tes fringues ! et Soyez sport ! 1995-1996, qui ont fusionnĂ© fin 96 pour prendre le nom de campagne De l’éthique sur l’étiquette, confirme l’importance que les consommateurs accordent Ă  la qualitĂ© sociale » des produits qu’ils achĂštent. En 1998, plus de 130000 personnes ont signĂ© la pĂ©tition nationale, contre 80000 et 20000 les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Cette mobilisation a conduit certaines entreprises et organisations patronales Ă  ouvrir un dialogue avec le collectif De l’éthique sur l’étiquette » adoption d’un code de conduite par Auchan qui accepte d’expĂ©rimenter un systĂšme de contrĂŽle indĂ©pendant Ă  partir de 1998, nĂ©gociations avancĂ©es avec Carrefour et CamaĂŻeu, ouverture de discussions avec le Conseil national du commerce auquel a Ă©tĂ© remise la pĂ©tition, en juin 1997, reprise de contact avec DĂ©cathlon, qui travaille Ă  l’élaboration d’une charte sociale destinĂ©e Ă  ses fournisseurs novembre 1997. De son cĂŽtĂ©, le 15 mai 1997, le Parlement europĂ©en a adoptĂ© une rĂ©solution apportant son soutien Ă  la campagne europĂ©enne Clean Clothes, une coordination rĂ©unissant des collectifs associatifs et syndicaux travaillant sur ce thĂšme dans neuf pays dont De l’éthique sur l’étiquette, en France. Cette rĂ©solution demande Ă  la Commission europĂ©enne de travailler Ă  la crĂ©ation d’un label social. Les rĂ©sultats obtenus en France en seulement deux ans, montrent que les distributeurs sont sensibles aux pressions des consommateurs. Il s’agit d’un phĂ©nomĂšne mondial qui prend de l’ampleur. Quelques exemples concernant la seule annĂ©e 97 FĂ©vrier 1997 accord entre les autoritĂ©s pakistanaises, le Bureau international du travail et l’Unicef, soutenu par une cinquantaine de marques amĂ©ricaines, visant Ă  Ă©liminer l’emploi d’enfants dans la fabrication de ballons de football cousus main, au Pakistan 75 % de la production mondiale, 7000 enfants concernĂ©s et Ă  amĂ©liorer leurs conditions de vie. Septembre 1997 Euratex, qui regroupe les industriels du trafic et de l’habillement, et la FĂ©dĂ©ration syndicale europĂ©enne de ce secteur ont signĂ© un code de conduite encourageant » les entreprises Ă  respecter les droits sociaux fondamentaux dĂ©finis par l’Organisation internationale du travail. Il s’agit d’une premiĂšre avancĂ©e, bien que le contenu de l’accord soit peu contraignant. Novembre 1997 accord entre les syndicats italiens et la multinationale italienne du jouet Artsana marche Chicco.... Cette derniĂšre, qui sous-traite une grande partie de sa production en Chine, s’engage Ă  faire respecter les rĂšgles de l’OIT. Elle accepte que cet engagement soit contrĂŽlĂ© par un organisme indĂ©pendant auquel les syndicats seront associĂ©s. DiffĂ©rentes actions pour 1998-1999 Sont prĂ©vues une mission du collectif dans deux ou trois pays du sud, des tournĂ©es de partenaires du Sud en France dans dix villes, la conception de matĂ©riel d’éducation et d’information affiche, kit campagne, publications, expos.... Parmi celles-ci, une campagne en direction des candidats aux Ă©lections europĂ©ennes de juin 1999 sera mise en place. Les collectifs ou associations localement seront invitĂ©s Ă  adresser un courrier aux candidats leur demandant de s’engager Ă  intervenir auprĂšs de la commission europĂ©enne afin qu’elle travaille Ă  la crĂ©ation d’un label social. Vous pouvez Ă©galement continuer d’envoyer des cartes postales aux directeurs des magasins de sports les plus proches ou au siĂšge national de ces entreprises. Christian Gautellier* Agir ici, ASPAL, CCFD, CemĂ©a, CFDT et notamment ses organisations ASSECO, fĂ©dĂ©ration HACUITEX et Services, Institut Belleville et SGEN, CIMADE, Collectif Guatemala, CSCV, Etudiants et DĂ©veloppement, FĂ©dĂ©ration Artisans du Monde, FĂ©dĂ©ration des Clubs Unesco, Francas, FrĂšres des Hommes, FSGT, JEC, JOC, LĂ©o Lagrange-Consommation, Ligue des Droits de l’Homme, Ligue de l’Enseignement, Max Havelaar-France, PEP, RITIMO. novembre 1998 - mai 1999 Pour toute information, contacter Christian Gautellier ou JoĂ©l Chanoir, au siĂšge de l’association nationale des CemĂ©a. Pour toute demande des documents de campagne, contacter directement le collectif De l’éthique sur l’étiquette, c/o FĂ©dĂ©ration Artisans du monde, 67 avenue de la RĂ©publique, 75011 Paris.© Site officiel des CemĂ©a Centres d’entraĂźnement aux mĂ©thodes d’éducation active Participation Ă  la rĂ©flexion sur la stratĂ©gie de plaidoyer en faveur des droits des femmes et de l’égalitĂ© femmes-hommes L'Ă©thique plutot que l'Ă©tiquette L'Ă©thique plutot que l'Ă©tiquette est un mouvement citoyen national visant Ă  promouvoir l'Ă©thique en politique. Aix-en-Provence. SalomĂ© Hembert Étudiant Ă  Sciences Po Lyon - Institut d'Ă©tudes politiques Lille Travail forcĂ© des OuĂŻghours "Nous comptons sur l’action citoyenne pour faire pression sur les enseignes"publiĂ© le 29/03/2022Nayla Ajaltouni est coordinatrice d'Éthique sur l’étiquette, un collectif qui agit en faveur du respect des droits humains au travail, notamment dans l’industrie textile. Elle nous parle de l'exploitation des OuĂŻghours, pour la production de coton et la fabrication de vĂȘtements dans la rĂ©gion autonome du Xinjiang, en Chine. Depuis 1995, le collectif Éthique sur l'Ă©tiquette agit pour "mondialiser les droits humains au travail", en demandant aux entreprises de veiller aux conditions de production des marchandises qu'elles commercialisent. Le collectif, qui agit aussi en faveur de "la reconnaissance du droit Ă  l’information des consommateurs sur la qualitĂ© sociale de leurs achats", est composĂ© d'associations de solidaritĂ© internationale, de syndicats, de mouvements de consommateurs et des associations d’éducation populaire. Nayla Ajaltouni coordonne les campagnes d'Éthique sur l'Ă©tiquette. Elle a rĂ©pondu Ă  nos questions sur le travail forcĂ© des OuĂŻghours. Quels sont les liens entre l’industrie textile et l’exploitation des OuĂŻghours ? N. A. DĂšs 2019, des journalistes et des chercheurs ont documentĂ© le travail forcĂ© des OuĂŻghours - une minoritĂ© turcophone et de religion musulmane, ciblĂ©e par PĂ©kin - dans la rĂ©gion autonome ouĂŻghoure du Xinjiang, en Chine. Cette rĂ©gion hĂ©berge de nombreuses usines de l’industrie textile, de fabrication de vĂȘtements, mais aussi des champs de coton. Cette rĂ©gion produit environ 20% du coton mondial. En fait, il est possible qu’un vĂȘtement sur 5 dans le monde contienne du coton rĂ©coltĂ© dans cette rĂ©gion, ou ait Ă©tĂ© fabriquĂ© dans une usine dans laquelle il y a du travail marques de textile sont concernĂ©es ?N. A. C’est trĂšs difficile de rĂ©pondre prĂ©cisĂ©ment Ă  cette question. Car il est impossible de mener l’enquĂȘte sur place. Un vĂȘtement sur 5, finalement ça concerne Ă©normĂ©ment de marques... Elles sont liĂ©es au travail forcĂ© via leurs sous-traitants chinois. Au sein du collectif Éthique sur l’étiquette, nous ciblons toutes les grandes enseignes d’habillement, comme Nike, Zara, Shein
 En France nous avons mĂȘme dĂ©cidĂ© de porter plainte, et une enquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte contre 4 multinationales de l’habillement Inditex maison mĂšre de Zara, Uniqlo, SMCP propriĂ©taires de Sandro, Maje... et Sketchers chaussures de sport. Ces groupes sont accusĂ©s d’ĂȘtre complices de graves crimes. Nous avons pu dĂ©poser cette plainte car nous avions suffisamment de preuves concrĂštes de leurs liens commerciaux avec des unitĂ©s de production de la rĂ©gion. Le but est d’interpeller et de faire pression sur toutes les plusieurs marques ont dĂ©jĂ  niĂ© avoir des liens avec la rĂ©gion, car elles ne regardent que leurs fournisseurs de rang 1. MĂȘme si certaines ont dĂ©clarĂ© qu’elles allaient couper tout lien avec la rĂ©gion, ça ne veut pas dire qu’elles vont le faire. De son cĂŽtĂ©, la Chine a appelĂ© au boycott de certaines enseignes. Dans la foulĂ©e, Inditex a retirĂ© sa dĂ©claration condamnant le travail forcĂ©, cela montre qu’ils n’ont pas beaucoup de scrupules. H&M par contre a maintenu sa condamnation et n’a pas cĂ©dĂ© au chantage. Que peut-on faire en tant que citoyen et consommateur ? N. A. Nous comptons beaucoup sur l’action citoyenne pour interpeller et faire pression sur les enseignes, via les rĂ©seaux sociaux par exemple ou en relayant les actions menĂ©es par les associations. Nous faisons partie, avec plus de 180 organisations au niveau international, de la "Coalition pour mettre un terme au travail forcĂ© dans la rĂ©gion ouĂŻghoure". Sur le site de la Coalition, il y a une liste d’actions menĂ©es en ce moment, et nous avons besoin du soutien des citoyens pour faire connaĂźtre ces engagements. ChloĂ© CohenJournaliste engagĂ©eChloĂ© Cohen est journaliste et crĂ©atrice du podcast Nouveau ModĂšle sur la mode responsable. AprĂšs 3 annĂ©es passĂ©es Ă  New York comme correspondante, ChloĂ© s’est spĂ©cialisĂ©e dans les problĂ©matiques environnementales et sociales de l’industrie associĂ©s Ă  l’article
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Leguide éthique du consommateur : Acheter pour un monde meilleur de Observatoire De L'éthique sur ISBN 10 : 222612537X - ISBN 13 : 9782226125378 - Albin Michel - 2001 - Couverture souple

DÉTRICOTER. Face Ă  une industrie du textile peu encline Ă  la transparence, difficile pour les consommateurs de mesurer l’impact social de leurs vĂȘtements. Coordinatrice de l’antenne toulousaine du collectif Éthique sur Ă©tiquette, Anne-Marie Viguier, estime tout de mĂȘme qu’en rĂ©flĂ©chissant Ă  ses achats, chacun peut peser sur les grandes enseignes prĂ©sentes en France pour amĂ©liorer le sort des ouvriers Ă  l’autre bout de la planĂšte. Pour que les droits humains au travail soient respectĂ©s dans le monde et en particulier ceux des ouvriers de l’industrie textile en Afrique et en Asie, le collectif Éthique sur l’étiquette Ɠuvre depuis 20 ans Ă  la mobilisation de l’opinion française afin de faire pression sur les dĂ©cideurs Ă©conomiques et politiques. Créée en 2010, l’antenne de Toulouse relaie localement les campagnes nationales via des actions de rue. Nous en organisons notamment chaque annĂ©e en juin, Ă  la pĂ©riode des soldes. Nous nous postons Ă  proximitĂ© des grandes enseignes vestimentaires pour les interpeller mais l’idĂ©e est surtout de sensibiliser les consommateurs sur les conditions dans lesquelles sont fabriquĂ©s les habits vendus par ces marques », explique Anne-Marie Viguier, sa coordinatrice. Un travail de fourmi qui porte lentement ses fruits. Surtout depuis le drame du Rana Plaza, l’effondrement d’un bĂątiment ayant provoquĂ© la mort de plus de 1000 ouvriers du textile au Bangladesh en 2013. Depuis, quelques enseignes ont Ă©laborĂ© des chartes de responsabilitĂ© qu’ils affichent dans leurs boutiques. Mais difficile de s’y fier selon le collectif. C’est uniquement de l’image. À partir du moment oĂč l’on propose des t-shirts Ă  des prix aussi bas, c’est forcĂ©ment au dĂ©triment d’un maillon de la chaĂźne, qui est toujours le mĂȘme, l’ouvrier. En juin 2016, Ă  l’occasion de l’Euro de foot, nous avons rĂ©alisĂ© une campagne ciblant les grands Ă©quipementiers en dĂ©montrant que sur un maillot de foot vendu 90 euros, seulement 60 centimes revenaient Ă  celui qui le fabriquait », raconte Anne-Marie Viguier. MalgrĂ© la prise de conscience des consommateurs, l’industrie du textile manque encore cruellement de transparence. Indiquant uniquement le dernier pays par lequel il est passĂ©, l’étiquette apposĂ©e sur un vĂȘtement ne dit par exemple rien de sa vĂ©ritable origine. Comment alors s’y retrouver dans un secteur oĂč trĂšs peu de labels concernent l’aspect social de la fabrication ? Il y a des blogs et des sites comme pour trouver des informations. Mais on peut aussi rĂ©flĂ©chir Ă  sa consommation en achetant moins et de meilleure qualitĂ© ou en allant dans des boutiques de seconde main, voire en louant ses vĂȘtements. Sinon, la mention Made in France, est dĂ©jĂ  une garantie assez sure. » En tout cas, pour changer les choses tout en maintenant le travail des ouvriers du textile, Éthique sur Ă©tiquette ne prĂŽne pas le boycott des grosses enseignes mais entend peser sur les donneurs d’ordre situĂ©s en France. En mars 2017, une loi sur le devoir de vigilance des sociĂ©tĂ©s mĂšres vis-Ă -vis de leurs sous-traitants a Ă©tĂ© adoptĂ©e. Un premier pas important, selon Anne-Marie Viguier, qui ne doit pas empĂȘcher les consommateurs de continuer Ă  se mobiliser et rappeler Ă  leur responsabilitĂ© les grands industriels Il faut bien avoir conscience que les marques ne sont rien sans acheteurs. Nous avons un rĂ©el pouvoir ». Anne-Marie Viguier Membre de l’association CCFD-Terre Solidaire et coordinatrice locale du collectif Éthique sur Ă©tiquette. Tous les articles du dossier ” Quand la mode a la fibre Ă©thique “ Quand la mode a la fibre Ă©thique Le plus vieux jean de France est fabriquĂ© en Occitanie Hopaal fabrique des vĂȘtements 100% recyclĂ©s Une marque de vĂȘtements Ă©cologiques et 100% traçables 3 idĂ©es pour rĂ©duire l’impact social et environnemental de ses habits

Accueilsur rendez-vous pour toute personne justifiant d’une recherche du mardi au vendredi de 10h Ă  17h. DĂ©tails pour : "De l'Ă©thique sur l'Ă©tiquette" un label social europĂ©en; Vue normale Vue MARC vue ISBD "De l'Ă©thique sur l'Ă©tiquette" un label social europĂ©en Type : Enregistrement sonore (CD) Genre : Emission radiophonique Editeur : Paris : EPRA, 2000 RĂ©sumĂ© :

La Proposition de Loi sur le Devoir de Vigilance des multinationales pourrait ĂȘtre adoptĂ©e durant la 1Ăšre quinzaine de FĂ©vrier. Il s’agit d’un long combat portĂ© par nos organisations depuis plus de 4 annĂ©es. Le collectif local Ethique sur l’étiquette » a dĂ©cidĂ© de poursuivre notre mobilisation auprĂšs de nos Ă©lus dĂ©partementaux par une action de rue symbolique » pour maintenir la pression indispensable afin que nos dĂ©putĂ©s poursuivent leur engagement. Vous trouverez ICI le flyer annonçant l’action et demandant Ă  tous de venir nous rejoindre ce vendredi 3 FĂ©vrier de 12 H 3O Ă  13 H 30 devant le magasin en profiterons pour distribuer quelques tracts, non pour un boycott des achats, mais pour obtenir le juste salaire des travailleurs ses des multinationales qui dĂ©localisent en augmentant toujours plus leurs pouvez vous rendre sur le site du collectif national Ethique sur l’étiquette » oĂč vous pourrez signer un appel urgent en soutien aux travailleurs et travailleuses du Bangladesh, victimes d’une terrible rĂ©pression pour avoir rĂ©clamĂ© l’application de leurs droits sur Cfdt interco 35 SecrĂ©taire gĂ©nĂ©rale CFDT Interco 35 Vous aimerez aussi... DesrĂ©ponses et des solutions avec Nayla Ajaltouni, coordinatrice du collectif l'Éthique sur l’étiquette. Passer au contenu principal Accueil; Consommation; Nayla Ajaltouni, Part.1 : « Un T-shirt Ă  5 euros, ça n’existe pas » # MasterTilt Nayla Ajaltouni, Part.1 : « Un T-shirt Ă  5 euros, ça n’existe pas » RĂ©daction Tilt le 15/04/2021 7 min de lecture 🧠 Niveau « Je me Sur quoi porte cette Ă©tude ?Elisabeth Paquot, VĂ©ronique VerriĂšre, HervĂ© Murat EUROPACT, juillet 2003. CrĂ©e en 1995 Ă  l’initiative d’Artisans du Monde, le collectif » de l’éthique sur l’étiquette » regroupe aujourd’hui une cinquantaine de membres. Par des actions de sensibilisation et d’information, il vise Ă  responsabiliser les consommateurs, les entreprises et les pouvoirs publics Ă  la qualitĂ© sociale des produits commercialisĂ©s par la grande distribution. ParallĂšlement, par des actions de lobbying, il vise un meilleur respect des droits sociaux au travail. -* L’évaluation souligne l’importance des rĂ©sultats dĂ©jĂ  obtenus notamment en ce qui concerne la conscientisation des acteurs visĂ©s par les campagnes de sensibilisation. Certaines entreprises ont, en outre, amorcĂ© une rĂ©flexion conjointe avec le collectif autour de l’adoption de codes de bonne conduite. -* Les Ă©valuateurs insistent nĂ©anmoins sur la nĂ©cessitĂ© pour le collectif d’atteindre, dans sa nĂ©gociation avec les entreprises et les pouvoirs publics, des rĂ©sultats plus tangibles. Pour ce faire, le collectif pourrait, d’une part, dĂ©cliner les objectifs de » label social » pour en rendre les avancĂ©es plus concrĂštes et, d’autre part, diversifier les stratĂ©gies de communication et de partenariat selon les entreprises. Livrables dĂ©finitifs115 - Evaluation EV - FADM - Notes115 - Evaluation EV - FADM - Rapport complet115 - Evaluation EV - FADM - SynthĂšse LeCollectif Ethique sur l’étiquette rappelle que, 20 ans aprĂšs le premier scandale survenu dans l’industrie du textile (Nike et le travail des enfants pakistanais en 1996), laisser aux seules multinationales la tĂąche de rĂ©guler leur activitĂ© n’a pas Ă©vitĂ© d’autres scandales ou situations de violations des droits humains fondamentaux. De l’éthique sur l’étiquette Pour privilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale, un collectif s’est créé en se fixant un certain nombre d’objectifs qui recoupent des questions d’éducation. Une campagne nationale d’action a Ă©tĂ© mise en place.. Depuis plusieurs annĂ©es des campagnes nationales telles LibĂšre tes fringues, Soyez sport, et Commerce Ă©quitable ont Ă©tĂ© lancĂ©es Ă  l’initiative d’Artisans du monde et d’Agir ici. Elles ont pour objectif de sensibiliser les consommateurs sur la question de la qualitĂ© sociale » des produits qu’ils achĂštent. Un collectif s’est créé*. Les CemĂ©a ont dĂ©cidĂ© d’en faire partie parce qu’en tant que mouvement d’éducation cet enjeu de sociĂ©tĂ© traverse leur champ de pratiques et d’actions. Éducation contre le racisme, droits des enfants, Ă©thique sur l’étiquette autant de questions de sociĂ©tĂ© qui ouvrent au regard du projet des CemĂ©a, d’éducation populaire et de formation d’acteurs bĂ©nĂ©voles volontaires ou professionnels, un vaste chantier pĂ©dagogique et citoyen. Exploitation d’enfants, salaires dĂ©risoires, heures supplĂ©mentaires obligatoires et non rĂ©munĂ©rĂ©es, rĂ©pression antisyndicale Ă  l’encontre d’ouvriers dont le seul tort est de demander des conditions de travail dĂ©centes... Dans le monde entier, les centaines de milliers de personnes qui produisent les vĂȘtements, les chaussures de sport ou les ballons de football que nous achetons, travaillent trop souvent dans des conditions inacceptables. Des conditions de production inacceptables Pourtant, il existe des rĂšgles dĂ©finies par l’Organisation internationale du travail OIT, interdisant le travail forcĂ©, l’exploitation des enfants, le non respect de la libertĂ© syndicale, la discrimination entre individus d’origine, de religion ou de sexe diffĂ©rents... Dans le monde, de nombreux pays se sont engagĂ©s Ă  respecter ces principes fondamentaux, mais l’écart entre les dĂ©clarations et la rĂ©alitĂ© reste Ă©norme. C’est pourquoi, nous pouvons ĂȘtre amenĂ©s Ă  acheter des vĂȘtements et des chaussures de sport fabriquĂ©s dans des conditions inadmissibles. En effet, actuellement les consommateurs ne disposent d’aucune garantie leur permettant de privilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale ». Un objectif la crĂ©ation d’un label social... Face Ă  cette situation, le collectif De l’éthique sur l’étiquette » s’est fixĂ© les objectifs suivants Faire adopter, par plusieurs chaĂźnes de distribution et fabricants, le code de conduite Ă©laborĂ© par le collectif. En adoptant ce code de conduite, les entreprises doivent s’engager, auprĂšs de leurs clients, Ă  respecter et promouvoir les droits de l’homme au travail absence d’exploitation d’enfants, interdiction de l’esclavage, respect de la libertĂ© syndicale, salaires dĂ©cents.... Ces entreprises doivent Ă©galement accepter qu’un organisme indĂ©pendant et transparent contrĂŽle le respect du code de conduite. Lorsque les violations sont constatĂ©es chez un fournisseur, celles-ci devront cesser dans un dĂ©lai prĂ©cis. Si elles persistent une fois passĂ© ce dĂ©lai, le distributeur devra arrĂȘter toute relation commerciale avec ce fournisseur. Ceci constitue un premier pas vers la crĂ©ation d’un label social qui permettra aux distributeurs de mettre de l’éthique sur l’étiquette. Avec ce label, les consommateurs disposeront d’une garantie de bonne qualitĂ© sociale ». DĂ©but 1997, le VIIIe baromĂštre de la solidaritĂ© du CCFD indiquait que 72 % des Français accepteraient d’acheter un peu plus cher des marchandises d’importation produites dans des conditions sociales satisfaisantes. Des rĂ©sultats encourageants Depuis deux ans, la participation croissante aux campagnes LibĂšre tes fringues ! et Soyez sport ! 1995-1996, qui ont fusionnĂ© fin 96 pour prendre le nom de campagne De l’éthique sur l’étiquette, confirme l’importance que les consommateurs accordent Ă  la qualitĂ© sociale » des produits qu’ils achĂštent. En 1998, plus de 130000 personnes ont signĂ© la pĂ©tition nationale, contre 80000 et 20000 les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Cette mobilisation a conduit certaines entreprises et organisations patronales Ă  ouvrir un dialogue avec le collectif De l’éthique sur l’étiquette » adoption d’un code de conduite par Auchan qui accepte d’expĂ©rimenter un systĂšme de contrĂŽle indĂ©pendant Ă  partir de 1998, nĂ©gociations avancĂ©es avec Carrefour et CamaĂŻeu, ouverture de discussions avec le Conseil national du commerce auquel a Ă©tĂ© remise la pĂ©tition, en juin 1997, reprise de contact avec DĂ©cathlon, qui travaille Ă  l’élaboration d’une charte sociale destinĂ©e Ă  ses fournisseurs novembre 1997. De son cĂŽtĂ©, le 15 mai 1997, le Parlement europĂ©en a adoptĂ© une rĂ©solution apportant son soutien Ă  la campagne europĂ©enne Clean Clothes, une coordination rĂ©unissant des collectifs associatifs et syndicaux travaillant sur ce thĂšme dans neuf pays dont De l’éthique sur l’étiquette, en France. Cette rĂ©solution demande Ă  la Commission europĂ©enne de travailler Ă  la crĂ©ation d’un label social. Les rĂ©sultats obtenus en France en seulement deux ans, montrent que les distributeurs sont sensibles aux pressions des consommateurs. Il s’agit d’un phĂ©nomĂšne mondial qui prend de l’ampleur. Quelques exemples concernant la seule annĂ©e 97 FĂ©vrier 1997 accord entre les autoritĂ©s pakistanaises, le Bureau international du travail et l’Unicef, soutenu par une cinquantaine de marques amĂ©ricaines, visant Ă  Ă©liminer l’emploi d’enfants dans la fabrication de ballons de football cousus main, au Pakistan 75 % de la production mondiale, 7000 enfants concernĂ©s et Ă  amĂ©liorer leurs conditions de vie. Septembre 1997 Euratex, qui regroupe les industriels du trafic et de l’habillement, et la FĂ©dĂ©ration syndicale europĂ©enne de ce secteur ont signĂ© un code de conduite encourageant » les entreprises Ă  respecter les droits sociaux fondamentaux dĂ©finis par l’Organisation internationale du travail. Il s’agit d’une premiĂšre avancĂ©e, bien que le contenu de l’accord soit peu contraignant. Novembre 1997 accord entre les syndicats italiens et la multinationale italienne du jouet Artsana marche Chicco.... Cette derniĂšre, qui sous-traite une grande partie de sa production en Chine, s’engage Ă  faire respecter les rĂšgles de l’OIT. Elle accepte que cet engagement soit contrĂŽlĂ© par un organisme indĂ©pendant auquel les syndicats seront associĂ©s. DiffĂ©rentes actions pour 1998-1999 Sont prĂ©vues une mission du collectif dans deux ou trois pays du sud, des tournĂ©es de partenaires du Sud en France dans dix villes, la conception de matĂ©riel d’éducation et d’information affiche, kit campagne, publications, expos.... Parmi celles-ci, une campagne en direction des candidats aux Ă©lections europĂ©ennes de juin 1999 sera mise en place. Les collectifs ou associations localement seront invitĂ©s Ă  adresser un courrier aux candidats leur demandant de s’engager Ă  intervenir auprĂšs de la commission europĂ©enne afin qu’elle travaille Ă  la crĂ©ation d’un label social. Vous pouvez Ă©galement continuer d’envoyer des cartes postales aux directeurs des magasins de sports les plus proches ou au siĂšge national de ces entreprises. Christian Gautellier* Agir ici, ASPAL, CCFD, CemĂ©a, CFDT et notamment ses organisations ASSECO, fĂ©dĂ©ration HACUITEX et Services, Institut Belleville et SGEN, CIMADE, Collectif Guatemala, CSCV, Etudiants et DĂ©veloppement, FĂ©dĂ©ration Artisans du Monde, FĂ©dĂ©ration des Clubs Unesco, Francas, FrĂšres des Hommes, FSGT, JEC, JOC, LĂ©o Lagrange-Consommation, Ligue des Droits de l’Homme, Ligue de l’Enseignement, Max Havelaar-France, PEP, RITIMO. novembre 1998 - mai 1999 Pour toute information, contacter Christian Gautellier ou JoĂ©l Chanoir, au siĂšge de l’association nationale des CemĂ©a. Pour toute demande des documents de campagne, contacter directement le collectif De l’éthique sur l’étiquette, c/o FĂ©dĂ©ration Artisans du monde, 67 avenue de la RĂ©publique, 75011 Paris. 30/04/1999
Àtravers cette campagne, au delĂ  de dĂ©noncer des pratiques abusives, WeDressFair souhaite mettre en avant les acteur/rices monde de la mode Ă©thique. 46 co-signataires, dont The Good Goods, et des parties prenantes de l’économie sociale et solidaire (ESS) sont prĂ©sents pour les soutenir, des mouvements aux mĂ©dias, en passant par les
Pour que l'industrie textile joue le jeu Ce week-end, la plage du lac du Causse accueille la derniĂšre Ă©tape du Playa Tour 2012. Deux jours d'animations sportives et l'occasion pour le collectif Étique sur l'Ă©tiquette ESE de prĂ©senter ses actions. Un stand va ĂȘtre montĂ© Ă  proximitĂ© de l'Ă©vĂ©nement pour sensibiliser le public au respect des droits humains au travail. Pierre Bonnefoy, responsable du collectif de Saint-Étienne, a fait spĂ©cialement le dĂ©placement Notre objectif est de mobiliser les gens. Des actions concrĂštes sont possibles pour faire avancer les choses ». De l'action locale Ă  l'international Tout le week-end, des prospectus seront distribuĂ©s au bord du plan d'eau du Causse. Vendredi soir, une confĂ©rence sera donnĂ©e sur le sujet Ă  la Maison du bĂ©nĂ©volat, avenue Marx-Dormoy, Ă  20 h 30. L'occasion de prĂ©senter le collectif et son engagement. Créé en 1995, Étique sur l'Ă©tiquette rassemble plusieurs associations, syndicats et mouvements de consommateurs, pour modifier les comportements vis-Ă -vis de l'achat de textile. Le sablage des jeans par exemple est responsable de la mort de milliers de travailleurs Ă  travers le monde. Nous essayons de pousser les grandes surfaces Ă  ne plus acheter de jeans produits dans ces conditions ». Ce type d'actions locales est un maillon de la chaĂźne formĂ©e Ă  l'international. Le collectif appartient en effet Ă  la coalition Clean Clothes Campaign CCC, prĂ©sente dans onze pays europĂ©ens. Étique sur l'Ă©tiquette est aussi engagĂ© au sein du collectif international Play Fair, qui exige du mouvement olympique des engagements pour le respect des droits des travailleurs dans l'industrie du sport. En cette annĂ©e de Jeux Olympiques, le collectif a dĂ©cidĂ© d'insister sur le secteur sportif. C'est pourquoi il sera prĂ©sent ce week-end, auprĂšs de l'UFOLEP, sur la plage du lac du Causse. Chaque annĂ©e, les mĂ©nages français dĂ©pensent plus de six milliards d'euros pour l'achat de vĂȘtements ou chaussures de sport. Malheureusement, l'industrie textile nĂ©cessite une grande main-d''uvre, dĂ©localisĂ©e dans des rĂ©gions Ă  bas salaires oĂč les droits des travailleurs sont bafouĂ©s ». Les clubs sportifs mis Ă  contribution L'annĂ©e 2012 est ainsi l'occasion de mener des actions auprĂšs des clubs sportifs. Un questionnaire leur a Ă©tĂ© envoyĂ© Ă  travers toute la France, pour qu'ils s'interrogent sur leurs fournisseurs et la provenance des produits qu'ils utilisent. Les rĂ©ponses apportĂ©es devront permettre au collectif d'adapter son engagement et ses prĂ©conisations. Ce travail est aussi un moyen de pousser les clubs Ă  s'inspirer des dĂ©marches Ă©thiques entreprises par le collectif ESE, afin qu'ils s'impliquent plus largement dans l'action menĂ©e pour le droit des travailleurs. Thomas Liabotbrive
Venezassister en chair et en os à notre soirée sur l'avenir de la mode, en partenariat avec l'Institut Français de la Mode. Notre chroniqueuse Sophie Fontanel imaginera 5 scénarios du futur. Nous débattrons pour savoir si la "fast fashion" peut devenir éthique. Des créateurs de start-up viendront nous expliquer comment ils comptent bousculer le secteur Soirée organisée en
Changer nos modes de vie et de consommation dans le sens de la transition, c’est aussi nous prĂ©occuper des conditions de fabrication des vĂȘtements, chaussures, etc. que nous portons. Depuis 20 ans, le collectif Éthique sur l’Étiquette » met en lumiĂšre les conditions de fabrication dans la filiĂšre textile pour faire avancer [
] LajournĂ©e de la rĂ©sistance Ă  la Fast Fashion existe depuis quelques annĂ©es seulement et a, me semble-t-il, pour origine un collectif de 4 structures engagĂ©es en Belgique (Action et Recherche Culturelles, achACT, Oxfam Magasins du Monde et Oxfam SolidaritĂ©) mais elle est suivie par de nombreuses autres enseignes de mode responsable en France et en Europe.
Le Rana Plaza place des Opportunes En savoir plus sur Le Rana Plaza place des Opportunes 7 avril 2014, Place Sainte-Opportune Ă  Paris, entre la place du ChĂątelet et le Forum des Halles, un dĂ©filĂ© de mode d'un genre un peu particulier. Ce sont les associations De l'Ă©thique sur l'Ă©tiquette et CCFD Terre solidaire qui organisent une parodie de prĂ©sentation de vĂȘtements fĂ©minins de luxe. TrĂšs seyant, les tĂąches rouges qui rappellent les corps Ă©crasĂ©s dans l'immeuble Rana Plaza, le tissu froissĂ© comme les membres des survivants... Dacca la responsabilitĂ© du donneur d'ordre En savoir plus sur Dacca la responsabilitĂ© du donneur d'ordre Nous relayons bien volontiers le communiquĂ© de presse de Peuples solidaires et du collectif De l'ethique sur l'Ă©tiquette, Ă  la suite de l'affondrement de l'immeuble dans lequel Ă©taient concentrĂ©s de nombreux ateliers de confection textile au Bangladesh. EFFONDREMENT DU RANA PLAZA AU BANGLADESH Alors que le bilan continue de s'alourdir, Peuples Solidaires et le Collectif Ethique sur l'Ă©tiquette lancent une pĂ©tition pour appeler les marques Ă  prendre enfin les mesures qui s'imposent. Edito une sociĂ©tĂ© de consommation responsable? En savoir plus sur Edito une sociĂ©tĂ© de consommation responsable? Con-sot-mateur les murs d'un certain mois de mai dĂ©finissaient le consommateur comme doublement bĂȘte et voyeur. Une gĂ©nĂ©ration plus tard, le vocabulaire a Ă©voluĂ©, le thĂšme de la consommation responsable prolonge le refus du "consomme et tais-toi". Les campagnes comme De l'Ă©thique sur l'Ă©tiquette et le dĂ©veloppement du commerce Ă©quitable cherchent Ă  faire du consommateur un acteur du dĂ©veloppement durable, comme la RSE le fait du producteur, l'ISR de l'Ă©pargnant et l'Agenda 21 du citoyen.
InfoQuimper Éthique sur lĂ©tiquette le collectif quimpĂ©rois dĂ©nonce les pratiques de Quimper. Quimper Brest Rennes Lorient Vannes Autres villes . S'inscrire Se connecter Mon compte Maville. Mon compte Mon espace PRO; DĂ©connexion par . Info. Accueil Info Info en continu Info Quimper Info FinistĂšre Info Bretagne En France et dans le Monde Insolite Galeries photos info Archives
Manger bio, c’est bien. Mais saviez-vous que 24% de la consommation mondiale d’insecticides est utilisĂ©e pour la culture du coton non bio et que l’industrie du textile est le deuxiĂšme secteur le plus polluant aprĂšs l’industrie du pĂ©trole ? Vous l’aurez devinĂ©, une fois n’est pas coutume, je m’apprĂȘte Ă  parler chiffons, parce que lire les Ă©tiquettes est devenue une urgence sanitaire ! Aussi, laissez-moi vous proposer une petite expĂ©rience de quelques minutes Ă  la maniĂšre de Benjamin Carle et de son documentaire Made in France. Rendez-vous expressĂ©ment devant les armoires de vos enfants ou, Ă  dĂ©faut, devant la vĂŽtre afin de vous renseigner sur l’origine de la fabrication de ce qui constitue leur garde-robe ». Made in China, made in Bengladesh, made in Malaysia, Made in Pakistan, made in Vietnam, made in Cambodgia
 le constat est accablant, mais rassurez-vous, rien n’est irrĂ©versible, il est des marques Ă©co-friendly, respectueuses de l’environnement
 Reste Ă  chacun de nous de devenir consom’acteur, afin de renverser la vapeur ! Le prix fort de la junk fashion Les ONG le dĂ©noncent rĂ©guliĂšrement les mastodontes du textile H&M, Zara, Gap, Monoprix
 pour n’en citer que quelques-uns, sous-traitent Ă  tour de bras, collections capsules et petites sĂ©ries obligent ! Seulement, ces pratiques les privent de tout contrĂŽle sĂ©rieux et d’outils de traçabilitĂ© ! Saviez-vous, par exemple, qu’en Chine, des enfants coupent les fils dĂ©passant des jeans pour 1,5 centime d’euro par pantalon ? Que parmi les 60 millions de travailleurs de l’industrie textile dans le monde, 68% sont des femmes jeunes, peu qualifiĂ©es et des enfants ! Que ces ouvriĂšres travaillent en moyenne 12 heures par jour, six jours sur sept dans des conditions souvent dĂ©plorables interdiction de s’absenter plus de 5 minutes, d’aller au toilettes, ni mĂȘme de parler, locaux insalubres
. Que les teintures et oui ce pantalon bleu pĂ©trole a eu droit Ă  quelques bons bains de trempage ! sont rĂ©alisĂ©es Ă  partir de produits interdits en Europe par la norme REACH, car elles sont toxiques pour l’environnement et la santĂ© de celles et ceux qui les manipulent et les consommateurs qui les portent ! Enfin, que pour un tee-shirt d’une valeur de 29 euros, seuls 18 centimes sont liĂ©s Ă  la confection ?! Et oui, la plupart des vĂȘtements, que portent nos chĂ©rubins, sont consommĂ©s » Ă  mille lieues de l’endroit oĂč ils ont Ă©tĂ© fabriquĂ©s ! Et si leur prix est cassĂ©, d’autres payent le prix fort de notre dĂ©risoire valse des tendances ! En premiĂšre ligne, cette main d’Ɠuvre trĂšs peu chĂšre, qui ne bĂ©nĂ©ficie pas de droit du travail et qui passe le plus clair de son temps dans ses usines mouroirs » ! En deuxiĂšme ligne, l’environnement Ă  qui l’ont cause des dĂ©gĂąts irrĂ©parables Ă  force de dĂ©versements de produits chimiques et enfin Ă  notre progĂ©niture, que nous affublons de ces habits non Ă©thiques, soit dit en passant de trĂšs mauvaise qualitĂ©, ce qui nous conduit, Ă  les renouveler encore plus frĂ©quemment ! Less is more » Comment inverser la vapeur ? En rĂ©duisant, dans un premier temps, la penderie de nos petits au strict minimum ! Brocantes, vide-dressings, associations La Croix-Rouge, EmmaĂŒs
, c’est le moment de faire le tri et d’offrir une seconde vie aux vĂȘtements trop petits, ainsi qu’au surplus ! Souvenez-vous, il y a seulement quelques annĂ©es, LA tenue d’écolier, LE pull chaud, LA veste en laine, LA paire de chaussures costauds
 Sans en arriver lĂ , nous devrions pouvoir trouver un compromis, vous ne pensez pas ? Si la plupart des vĂȘtements Ă©thiques sont chers, voire trĂšs chers, c’est le prix du respect de celles et ceux qui les confectionnent, des belles matiĂšres et de la durabilitĂ© les petits prix doivent, Ă  l’inverse, nous alerter sur d’éventuelles mauvaises de conditions de fabrication !. Aussi, mieux vaut vĂȘtir nos enfants de vĂȘtements d’occasion dĂ©jĂ  maintes et maintes fois portĂ©s et lavĂ©s et/ou Ă©conomiser pour leur offrir quelques piĂšces neuves de belle facture selon ses possibilitĂ©s, cela va de soi. S’il est peu de marques de vĂȘtements pour les enfants qui s’engagent, il en est une que j’apprĂ©cie plus que toutes pour tous ses efforts La queue du chat. Peut-ĂȘtre connaissez-vous cette marque Ă  la philosophie Ă©co-friendly ? Ses crĂ©atrices, HĂ©lĂšne et Anne-Charlotte, qui ont respectivement travaillĂ© dans l’humanitaire et dans la mode dĂ©cident, en 2005, de s’associer pour crĂ©er des vĂȘtements pour les enfants en respectant l’environnement et le bien-ĂȘtre des artisans et prouver ainsi qu’une autre mode est possible ! Elles cherchent tout d’abord une manufacture française, capable de confectionner les vĂȘtements pour enfants qu’elles imaginent, mais voient les portes se fermer devant elles, en raison des quantitĂ©s infimes qu’elles souhaitent produire. Voyageuses dans l’ñme, elles partent en quĂȘte d’un atelier de confection travaillant exclusivement avec du coton biologique. Finalement, elles le trouvent dans un petit village situĂ© sur la cĂŽte du Gujarat Ă  150 kilomĂštres de Bombay. L’ensemble de la chaĂźne rĂ©pond aux exigences des droits fondamentaux des employĂ©s, en permettant notamment une juste rĂ©munĂ©ration, l’accĂšs aux postes Ă  responsabilitĂ© entre hommes et femmes, la couverture mĂ©dicale pour les salariĂ©s et leur famille L’atelier est, de fait, certifiĂ© FLO Fairtrade Labelling Organizations pour le commerce Ă©quitable et SA8000 Social Accountability. CultivĂ© sans pesticide ni engrais chimique et rĂ©coltĂ© Ă  la main, le coton biologique contribue au bien-ĂȘtre de ceux qui le cultivent. Sa production ne polluant ni l’eau, ni le sol, ni l’air et participant mĂȘme Ă  l’amĂ©lioration de la qualitĂ© des sols ! Anallergiques, souples, trĂšs Ă©pais et doux au toucher, les vĂȘtements proposĂ©s par La Queue du chat sont de vĂ©ritables petits cocons douillets et mignons ! La marque responsable imagine des piĂšces intemporelles afin de s’extraire, autant que faire se peu, de la saisonnalitĂ© qu’impose l’activitĂ© et ses fameuses collections printemps/Ă©tĂ©/automne/hiver. Il lui tient, en effet, Ă  cƓur de proposer sur son e-shop, des piĂšces plus anciennes Ă  petits prix ! HĂ©lĂšne et Anne-Charlotte s’appliquent Ă©galement Ă  recycler 100% des chutes de tissu, via la crĂ©ation d’accessoires, d’empiĂšcements
 Au delĂ  de son engagement Ă©quitable, le duo apporte aujourd’hui son soutien Ă  des projets pour la communautĂ© indienne, tel que le paiement du loyer de l’orphelinat de la ville qui jouxte le village dans lequel se situe l’atelier. La marque qui vient de fĂȘter ses 11 ans d’existence, a vu nombre de ses consƓurs disparaĂźtre, la concurrence Ă©tant ce qu’elle est, ce pourquoi, je souhaitais tirer mon chapeau Ă  cette marque Ă  nulle autre pareille et Ă  saluer ses crĂ©atrices passionnĂ©es pour leur opiniĂątretĂ© ! Autre marque responsable que j’apprĂ©cie pour sa dĂ©marche Ă©thique Coq en pĂąte ! Les tee-shirts en coton biologique, certifiĂ©s GOTS, de la marque bretonne, aux imprimĂ©s animaliers », font Ă©videmment le bonheur de mon grand garçon de 6 ans ! Et cette autre jeune marque française, Risurisu, créée par la maman de 6 enfants experte en la matiĂšre »! et dont les piĂšces blouses, pantalons, robes
, certifiĂ©es GOTS, confectionnĂ©es en Espagne, affichent un cĂŽtĂ© rĂ©solument rĂ©tro ! Alors, oui, le prix vĂȘtements peut paraĂźtre Ă©lever si l’on ne regarde que celui-ci. Seulement quand on sait l’envers du dĂ©cor, ne vaut-il pas mieux revoir Ă  la baisse ses achats pour encourager la fabrication d’habits plus sĂ»rs et plus sains pour nos enfants et favoriser le dĂ©veloppement d’un marchĂ© biologique, plus respectueux des cultivateurs comme de l’environnement ? Pour ma part, je privilĂ©gie les vĂȘtements d’occasion, avec une prĂ©dilection pour les vĂȘtements d’enfants des annĂ©es 70, merveilleusement coupĂ©s et d’une incroyable qualitĂ© Etsy et de nombreux sites de seconde-main en proposent, nĂ©anmoins je ne suis pas contre une ou deux jolies tenues durables pour les jours de sortie ! Alors, si comme moi, vous vous souciez du sort de la planĂšte et du bien-ĂȘtre de ses habitants, Ă  commencer par ses enfants qu’ils naissent en Orient ou en Occident, je ne peux que vous encourager Ă  vous interroger, avant de cĂ©der Ă  toute impulsion d’achat, car derriĂšre chaque vĂȘtement confectionnĂ© se trouve un certain nombre d’humains du cultivateur de la matiĂšre premiĂšre, aux petites mains qui se chargent de teinture ou des coutures
, des heures de travail et des ressources que nous nous devons de respecter afin de ne pas les Ă©puise. Les vĂȘtements portĂ©s par Merlin et Myrtille, pris en photos sont signĂ©s La queue du chat. Notez que le collectif ÉTHIQUE SUR L’ÉTIQUETTE, se bat pour mondialiser les droits humains au travail, textes de rĂ©fĂ©rence, rapport et vidĂ©o Ă  l’appui ! À voir Ă©galement en replay Cash Investigation Toxiques Fringues, un documentaire riche d’enseignements ! Photos signĂ©es ©Olivier Cochard
CollectifEthique sur l'Ă©tiquette. 13 228 mentions J’aime · 2 en parlent. Le Collectif Éthique sur l'Ă©tiquette dĂ©fend les droits humains au travail dans les chaĂźnes mondialisĂ©es de
Flash News Pas de vidĂ©os ! Mettez des vidĂ©os dans votre "Watch Later" en cliquant sur l’icĂŽne au coin en bas Ă  droite des vignettes de vidĂ©os. View all videos Don't miss new videos Sign in to see updates from your favourite channels Sign In POSTER UNE VIDEO COLLECTIF ÉTHIQUE SUR L’ÉTIQUETTE Loading advertisement... Up next N’ACHETEZ SURTOUT PAS CES VÊTEMENTS ! Cancel Nous utilisons trĂšs peu de cookies. Ils servent le bon fonctionnement du site ou recueillent des statistiques de visites. En cliquant sur “J'accepte”, vous acceptez ces cookies. Vous pouvez choisir de dĂ©sactiver certains cookies non nĂ©cessaires dans RĂ©glages Cookies.
PourprivilĂ©gier les produits de bonne qualitĂ© sociale, un collectif s'est créé en se fixant un certain nombre d'objectifs qui recoupent des questions d'Ă©ducation. Une campagne nationale d'action a Ă©tĂ© mise en place..- MIEUX NOUS CONNAITRE: ACTUALITÉS & EVENEMENTS: PĂ©dagogie et Ressources: PUBLICATIONS & REVUES: STAGES ET FORMATIONS PROFESSIONNELLES:
Cet article date de plus de neuf ans. Suite Ă  l'effondrement d'un bĂątiment au Bangladesh qui a coĂ»tĂ© la vie Ă  plus de 1100 employĂ©s, des gĂ©ants de l'habillement ont signĂ© un accord sur la sĂ©curitĂ© des usines au Bangladesh. Mais les conditions de travail des ouvriers du textile ne sont pas forcĂ©ment meilleures ailleurs. Les consommateurs ont le pouvoir de faire Ă©voluer la situation. Article rĂ©digĂ© par PubliĂ© le 17/05/2013 0850 Mis Ă  jour le 09/05/2014 2331 Temps de lecture 1 min. OĂč et dans quelles conditions sont fabriquĂ©s les vĂȘtements que nous portons ? Chine, Inde, Cambodge, Bangladesh, la lecture des Ă©tiquettes pourrait ressembler Ă  une invitation au voyage... un voyage dans l'enfer d'ateliers insalubres. Au Cambodge, les femmes sont si peu payĂ©es qu'elles ne peuvent pas se nourrir correctement, et perdent rĂ©guliĂšrement connaissance sur leur lieu de travail. Au Bangladesh, dans des centaines d'usines, les ouvriers du textile, pour rĂ©pondre Ă  la demande, peuvent travailler jusqu'Ă  90 heures par semaine, pour des salaires de misĂšre. Depuis prĂšs de 20 ans, le Collectif Éthique sur l'Ă©tiquette se bat pour que les droits de ses travailleurs soient respectĂ©s, et pour qu'ils soient rĂ©munĂ©rĂ©s dĂ©cemment. Le Collectif Éthique sur l'Ă©tiquette rassemble une vingtaine d'associations et de mouvements de consommateurs . Il appartient est la branche du rĂ©seau europĂ©en Clean Clothes Campaign. Suite a l'effondrement d'un bĂątiment au Bangladesh qui a coĂ»tĂ© la vie Ă  des centaines d'ouvriers du textile, et suite Ă  la signature d'une pĂ©tition par plus d'un million de consommateurs Ă  travers le monde, la plupart des grandes marques internationales de l'habillement se sont engagĂ©es en faveur de la sĂ©curisation des usines. En France Carrefour est la premiĂšre marque Ă  avoir signĂ© cet accord.
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